![]() |
|||||||||
|
|||||||||
Installation du réseau de stations UV au sol Au début des années 1980, avec la découverte du "trou d’ozone" au-dessus de l’Antarctique, les scientifiques ont commencé à s’inquiéter des risques encourus par les populations, suite à un accroissement potentiel des rayons UV en surface.
Dès le départ, ce réseau visait à réaliser:
D’autres mesures auxiliaires comme les colonnes totales d’ozone ou de SO2 ou les principaux paramètres météorologiques: température, pression, humidité, vitesse, direction et intensité du vent, pluviométrie, couverture nuageuse (dans le visible et dans l’IR), etc. Cette information complète sur les composantes directes, diffuses et globales du rayonnement UV-Visible solaire en surface a, par exemple, permis aux chercheurs de l’IASB de démontrer la corrélation entre une diminution de la concentration d’ozone stratosphérique et une augmentation des rayons ultraviolets de type B en surface. Depuis lors, cinq autres stations sont venues s’ajouter au réseau de surveillance du territoire belge monitoring network in Belgium. L'IASB collabore égallement avec la station de Diekirch au Luxembourg.
|
|||||||||
![]() |
|||||||||